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lundi 24 décembre 2007

Marrakech, le barrage & le lac de Lalla Takerkoust

Où dormir à Marrakech?

En sortant de Marrakech en direction de Tizi n’Test, à 5 km, prendre l’embranchement de droite , direction Amizmiz. Construit sous le Protectorat entre 1929 et 1935, le barrage de Lalla Takerkoust permet, avec son lac de 7 km de long, l’irrigation de 5 000 hectares dans la plaine du Haouz.
En été, fuyant la chaleur étouffante de Marrakech (il y fait régulièrement 10 à 15 degrés de moins…), on peut s’adonner sur ce généreux plan d’eau à de nombreuses activités : baignade, pêche, pédalo, canoë, planche à voile, et même jet ski et quads !

vendredi 14 décembre 2007

Fès, Le fondouk et la fontaine Nejjarine


Où dormir à Fès?

Le fondouk et la fontaine Nejjarine (des menuisiers) datant du XVIIIème siècles sont situés sur la place du même nom...
Leur architecture témoigne des nouvelles tendances qui ont marqué l’art de bâtir et la décoration monumentale à Fés au début de l’époque Alaouite.
En 1997, Le fondouk a été aménagé en musée de la menuiserie et du bois.

lundi 3 décembre 2007

Ouarzazate, la Kasbah de Taourirt


La Kasbah de Taourirt : par son importance, son architecture et sa décoration, c’est l’une des plus belles du Maroc (classée monument historique). Elle fut, la plus grande résidence du Glaoui, le pacha de Marrakech.
Ses bâtiments en pisé flanqués de tours crénelées, s’étagent sur des plans superposés, sur fond de murailles crépies de rose et creusées de dessins géométriques. On peut visiter quelques pièces des anciens appartements du Glaoui, dont la salle à manger et la chambre de la favorite (…), qui ont gardé leur décoration de stuc peint et leurs plafonds en bois de cèdre.
De la terrasse, vue remarquable sur le village fortifié berbère de Taourirt (antérieur à la ville de Ouarzazate, datant du XIIIème
siècle), la vallée et ses oasis, et les montagnes cernant l’horizon.

mercredi 14 novembre 2007

Zagora



Tout comme Ouarzazate, Zagora, a été crée sous le Protectorat français comme centre administratif - fut également le berceau des Saadiens, qui entreprirent la conquête du Maroc au XVI ème siècle.
« Tombouctou, 52 jours de chameau » : toute la mythologie et la fascination du désert sur ce célèbre panneau…il signe la vocation ancienne de Zagora, dernière étape de la route caravanière. Pour ceux qui rêvent de la grande aventure saharienne, les environs de Zagora permettent d’effectuer quelques excursions courtes –les premières dunes sont à 26 km – ou beaucoup plu longues, vers Mhamid notamment.
A voir : le Djebel Zagora, qui offre un panorama sur le désert et la palmeraie très
intéressant – excursion à faire au lever ou au coucher du soleil de préférence (avec un 4x4, on peut accéder jusqu’à la moitié du parcours, ensuite il faut poursuivre à pied)

lundi 29 octobre 2007

Chefchaouen, héritage andalou

Malgré le fait que la ville de Chefchaouen soit, à côté d'autres villes historiques, d'importance plus modeste, elle a pu abriter, depuis sa fondation à l'époque Wattaside en 1471 un nombre considérable de familles andalouses réfugiées là après la chute de Grenade en 1492.
Ces immigrés ont amené avec eux leurs moeurs, leur mode de vie et de culture. La musique, comme l'architecture et d'autres arts, en font partie. Ils ont tendance ainsi à préférer écouter cette musique savante, fortement chargée de nostalgie, qui rappelle la première patrie et soulage de la séparation du paradis perdu.
Les touristes européens considèrent Chefchaouen comme l'une des merveilles du Maroc : son cachet pittoresque, ses maisons aux murailles passées à la chaux et aux portes peintes
en bleu, aux toits de tuiles andalouses, ses jardins à la végétation luxuriante et ses sources abondantes. Tout cela donne à cette mystérieuse et charmante ville, un aspect méridional des plus séduisant. Charles de Foucauld qui y passa une nuit en 1883, en a laissé une description enthousiaste : «elle n'est, dit-il, que vie, richesse et fraîcheur».

mardi 23 octobre 2007

Meknès, le Royal Golf


Au coeur de la ville impériale, blotti derrière de lourds remparts, ce parcours de 9 trous situé dans Médina de Meknès offre un décor hors du temps…
Sur ses 2707 mètres, le Royal Golf de Meknès séduira nombres de golfeurs, et leurs fera vivre un parcours riche en histoire : Fontaines décorée de mosaïques, tours crénelées, portes anciennes, remparts où nichent les cigognes dans un jardin foisonnant de fleurs, de pruniers, de mandariniers, d'orangers, de palmiers, d'oliviers, d'abricotiers…
Et l'enchantent dure tout le long de la partie, et même jusqu'à la nuit car cette incroyable parcours est éclairé de nombreux projecteurs,pour un parcours au clair de lune.

mercredi 3 octobre 2007

Laâyoune, Le musée des arts du Sahara

Ouvert en 2001, Le musée des arts du Sahara de Laâyoune est situé au sein de la maison de la Culture, il présente à travers ses collections le patrimoine culturel saharien et le désert Marocain...
Constituée de collections qui représentent l’artisanat local, bijoux, costumes féminins, instruments de musique, ensemble de selles, objets en cuir, reconstitution d’une école coranique, présentation d’une tente nomade, et des accessoires du dromadaire qui représente l’animal le plus prisé au Sahara…

jeudi 6 septembre 2007

Oualidia, présentation de la ville


Charmante station balnéaire et paisible village de pêcheurs, entre mer et lagune (avec ses parcs à huîtres !), à mi-chemin entre El-Jadida et Safi - très prisée des Marocains l’été et … des amateurs de poissons et de crustacés.
Un site superbe, resté naturel, Belle plage en anse, protégée de l’océan par une barre d’îlots, où il est agréable de se baigner (en restant dans les eaux calmes) et de pratiquer la planche à voile. Les amateurs d’oiseaux auront l’occasion d’admirer des flamants, des goélands, des barges et des échasses. Pour observer d’autres espèces, se diriger vers les lagunes, les cours d’eau et les lacs salés, qui commencent au nord, du côté de Sidi Moussa : c’est l’endroit idéal pour apercevoir des cormorans, des canards, des
mouettes et des échassiers…

mercredi 5 septembre 2007

Marrakech, les Tombeaux Saadiens

Ces mausolées des princes de la dynastie Saadienne, qui régna sur Marrakech pendant 125 ans, furent construits par Ahmed le Doré à la fin du XVI ème siècle.
Ils sont l’unique vestige de la grandeur d’une dynastie dont l’attachement au développement des arts et des relations diplomatiques avec le reste du monde valut à Marrakech une partie de sa renommée internationale.
Ces tombeaux sont d’une telle beauté qu’en 1654, lorsque Marrakech tomba aux mains des Alaouites, ils n’osèrent pas y toucher (alors qu’ils rasèrent la plupart des autres vestiges saadiens) et décidèrent simplement de les entourer d’une enceinte. Ils ne furent « redécouverts »
qu’en 1917 ( !), puis restaurés et offerts de nouveau à l’admiration des visiteurs!
Décorés de damiers de zellige multicolores, bordés d’arabesques, voûtés stalactites de stuc et ornés de marbre d’Italie, ils sont restés en parfait état de conservation.
Outre la tombe du fondateur de la dynastie Saadienne, Mohamed ech Cheikh, s’y trouvent également celles d’Ahmed le Doré et de ses descendants ainsi que …celles d’une vingtaine de sultans alaouites.

vendredi 29 juin 2007

Larache, l' Antique Lixus

Le site de Lixus est situé sur la rive droite de l'oued Loukkos, à environ 4 km de son embouchure. La ville antique de Lixus est bâtie sur une colline connue chez les habitants de la région sous le toponyme de Tchemich.
La mention la plus ancienne remontant au périple du Pseudo Scylax (IVème s. av. J.-C.), fait de « Lixos » une ville phénicienne. Des indications un peu plus détaillées sont fournies par d’autres textes antiques, en particulier celui de Pline qui place l'un des exploits d'Hércule (la cueillette des pommes d'or des jardins des Héspérides) à lixus et présente Lixus comme la plus ancienne colonie phénicienne de l'occident méditerranéen (XIIème s. av. J.-C.
Si la tradition littéraire situe la

fondation de Lixus au XIIème s. av. J.-C., la réalité archéologique ne permet pas de remonter au-delà du premier tiers du VIIIème s. av. J.-C. Le matériel phénicien recueilli en plusieurs endroits de la ville indique que la ville phénicienne devait occuper une grande partie de l’acropole et ses pentes orientales. Les recherches récentes entreprises dans le sondage du caroubier ont permis de repérer, pour la première fois, des structures d’époque phénicienne. La diversité et la richesse du matériel exhumé à Lixus dénote l’importance du rôle qu’a du jouer la ville en tant que métropole et port ouvert aux circuits commerciaux de Méditerranée.
A partir du 3e s. av. J.-C. la ville de Lixus allait connaître un développement urbain important dont témoigne le quartier d’habitat délimité par l’enceinte maurétanienne.
Vers la fin du premier siècle av. J.-C., la ville de Lixus va assister à une phase de "prospérité" urbaine caractérisée par un souci d'aménagement de l'espace dans la ville. Cette prospérité se manifeste dans la riche décoration des maisons attestées par des restes d'enduit peint découverts sur plusieurs murs et dans les remblais. Sous le règne de Juba II et de son fils Ptolémée, Lixus a connu une période de prospérité et un développement urbain sans précédent qui se manifeste par le complexe du quartier des temples.

A partir de 42 de l’ère chrétienne, sous le règne de l’empereur Claude, Lixus devient colonie romaine, et on assiste à un grand développement économique et urbain de la ville. La pêche et les industries de salaisons ont fait de Lixus une métropole économique en Méditerranée occidentale. De même la richesse de l’arrière pays de la ville a favorisé le développement de l’agriculture. La ville se dote à cette époque de plusieurs monuments publics (théâtre-amphithéâtre, thermes, temples) et des demeures privés richement décorées de fresques et de mosaïques (mosaïque de Mars et Rhéa, mosaïque des trois Grâces, mosaïque d’Hélios).

A la fin du 3ème s. et au 4ème s., la ville se replie sur elle même avec la construction d’une enceinte qui réduit de moitié la superficie initialement habitée.

mercredi 20 juin 2007

Tétouan, le Royal Golf de Cabo Négro


Derrière Tétouan et les sommets du Rif , dans un lieu enchanteur entre ciel et mer, le Royal Golf de Cabo Négro, a été dessiné par Hawtree & Sons, dans la plus pure tradition britannique.
Le parcours de 9 trous offre un tracé spontané et naturel en bordure de Méditerranée seulement séparé par quelques dunes de sable et une végétation basse sculptée par le vent.
Les fairways des trous n°1 et 2 trous peuvent bien se permettre d'être larges et généreux, car leurs greens sont farouchement gardés par des arbustes touffus. Le trou numéro 3 joue des dunes, le n°5, un superbe par 5 à flanc de colline, est barré d'un ruisseau.

mardi 19 juin 2007

Tiznit, histoire de la ville


La fondation de Tiznit remonte à 1882 après l’expédition militaire du sultan Hassan I dans la région du Sous.
Le besoin de créer Tiznit fut dicté par la volonté de planter un poste militaire afin de contrôler l’arrière pays, et de parer à toute pénétration européenne depuis l’atlantique.
Comme tous les grands ouvrages défensifs du Maroc, l’enceinte de Tiznit fut élevée selon le modèle des fortifications des villes marocaines.
L’intérieur de la ville offre l’aspect d’un tissu traditionnel répartie selon des quartiers. Les maisons sont aussi de type traditionnel et rappellent, pour certaines
demeures, les grands riads de Marrakech. Parmi les monuments qui caractérisent la ville de Tiznit on trouve le palais du Khalifa (Qasr el khalifi) qui abritait le représentant du Sultan, la place du Méchoir et la grande mosquée.

mardi 22 mai 2007

El Jadida, histoire de la ville



En 1502, des naufragés portugais y construisent un petit fortin; douze ans plus tard, en 1514, le roi du Portugal fit édifier un château fort et une petite agglomération qu’on baptisât Mazagan (Mazagão).
En 1541 après la perte, d’Agadir, Safi et Azemour, les portugais décident d’y concentrer tous leurs efforts et ainsi de faire de Mazagan une citadelle imprenable…. Pendant 2 siècles ils réussirent à repousser tous les assauts….


Mais en 1769 le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdallah attaque Mazagan et après 2 mois de siège, le roi du Portugal donne l’ordre de quitter la place. Avant d’évacuer, les portugais brûlent leurs maisons et minent les bastions et remparts… si bien que lorsque les assaillants entrent dans Mazagan une série d’explosions détruit la ville.
Bien que rebaptisée EL- Jadida, la ville resta à l’état de ruines pendant presque 50 ans, et ce n’est qu’en 1820, sur ordre du Sultan Moulay Abderrahman que l’ancienne cité portugaise se releva de ses ruines.

mercredi 16 mai 2007

Boumalne, les Gorges du Dadès


L’oued Dadès, qui naît sur le versant Sud du Haut Atlas, tranche la montagne en « coup de sabre » à travers d’épaisses assises calcaires

La coloration de ces gorges magnifiques (maintenant accessibles aux voitures de tourisme) joue des rouges et des mauves, au milieu de kasbahs surgies de terre, tandis que les nombreux jardins complètent de leurs harmonies vertes ce superbe tableau.

lundi 14 mai 2007

Maroc Erfoud



Cet établissement est né de la rencontre d’un couple français et d’une famille berbère de la région. Récemment sorti de terre, car entièrement en pisé, le bâtiment se dresse en plein désert et bénéficie d’un jardin où poussent palmiers et légumes.






TERREMAROC Maroc Erfoud



Relaxer vous et profitez de la nature, et découvrez les grandes dunes sahariennes d’Erfoud et ses environs.